Arbalète Barnett modèle « Panzer V »

L’arbalète Barnett « Panzer V » est un modèle puissant, capable d’envoyer ses traits à longue distance grâce à une vitesse initiale approchant les 70 mètres par seconde (environ 250 km/h), ce qui lui confère une puissance de 65 joules.

Cette arbalète de fabrication américaine mesure 90 cm de longueur totale et 70 cm de largeur hors-tout, pour un poids à vide de 2,540 kg. Elle est munie d'un viseur à point rouge lumineux de marque NcStar.
Cette arbalète de fabrication américaine mesure 90 cm de longueur totale et 70 cm de largeur hors-tout, pour un poids à vide de 2,540 kg. Elle est munie d’un viseur à point rouge lumineux de marque NcStar.

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5 réflexions sur “Arbalète Barnett modèle « Panzer V »”

  1. nicolas alexandre

    pardonnez moi mais vous devriez arrêtez de calculer la puissance en joule car le calcul ne veut strictement rien dire c est juste la puissance de l arc , la puissance peut être calculée en newton mais pas joules , de plus les radars pour les ogives d armes a feu calculent très mal la vitesse d un long trait de 50 cm ….. ce n est pas la puissance de l arc qui compte mais la course de tension ( une excalibure avec un arc a 260 livres = 115 M/S et une barnett a 175 livres = 115 M/S aussi …. c est parce que l excalibure a une course de tension de 25 cm contre 38 pour la barnett ) , de plus la pointe du trait ne se déforme pas a l impact et est pointue donc certaines études balistiques disent que l on peut multiplier par 5,5 la puissance en joules obtenue par la vitesse et le poids du trait et 3 eme point , de part sa longueur le trait exerce une force de poussée bien supérieur a l impact qu une balle de n importe quelles calibres a feu . vous devez savoir qu un trait d arbalète passe assez facilement un gilet par balle la ou du 7,62 tokarev ( par exemple ) qui fait pourtant 650 joules est très loin de passer ce même gilet donc vous devriez revoir au plus vite vos notes sous peine de rater des ventes , en revanche le trait ayant beaucoup plus de frottement dans l air il retombe beaucoup plus vite . vous devriez comparer a 30 ou 40 mètres une barnett ( gost , predator ou quad 400 ) et du 45 acp dans un test de perforation d annuaire je pense que vu votre façon de penser vous seriez très très surpris ! un simple pistolet arbalète donné à 80 livres que vous évaluez a 9 joules ( quelle blague ) à une meilleur perforation que du 22 donc bien plus de 9 joules, ce que vous faites c est comme de calculer votre poids en watt ( j exagère un peu mais pas beaucoup ) alex

    1. Michel Bottreau

      Merci pour ces explications détaillées, qui intéresseront très certainement tous ceux qui verront nos vidéos. Pour ma part, je ne suis pas spécialiste de ce genre de matériel auquel je me suis intéressé, très exceptionnellement, par simple curiosité mais qui, pour tout dire, ne me passionne pas.
      Et je ne risque pas de rater des ventes, parce que je ne vends rien. Vous devez sans doute faire l’amalgame avec l’armurerie Pascal, qui est certes notre partenaire parce qu’elle nous prête les armes que nous testons, mais avec laquelle nous n’avons aucun lien commercial.

      Quelques remarques par rapport à votre commentaire :

      Mesures au chrono : la première cellule photoélectrique déclenche le chrono dès l’instant ou quelque chose pénètre dans son champ et la seconde le stoppe de la même façon. La longueur du projectile, qu’il s’agisse d’une balle ou d’une flèche, ne rentre donc pas en ligne de compte.

      Calculs : le mode de calcul peut être différent, selon qu’on parle d’énergie cinétique ou de quantité de mouvement, mais qu’on l’exprime en joules ou en kilogrammes mètres, le but est toujours de quantifier le travail du projectile en partant de deux données, sa masse et sa vitesse. Les notions telles que le « stopping power », la perforation ou la pénétration ne sont bien sûr pas prises en compte.

      Perforation : comme son nom l’indique, et contrairement à une cotte de mailles, le gilet pare-balles est conçu pour stopper les projectiles tirés par les armes à feu, pas pour protéger son porteur d’une pointe de flèche ou de couteau. Nous ne parlons en principe pas de la perforation, parce que cela n’intéresse pas les tireurs sportifs et que c’est enseigné aux forces de l’ordre dans des stages spécifiques auxquels nous ne souhaitons pas nous substituer. Savoir ce qui peut percer un gilet pare-balles peut en revanche intéresser des individus mal intentionnés auxquels notre site ne s’adresse pas.

  2. Il est agréable de voir le test d’une arbalète. Ces objets ont de nombreux avantages et un intérêt certain pour tout tireur de loisir.

    On peut d’ailleurs les utiliser légalement chez soi, contrairement aux armes à feu, pour peu qu’on respecte les règles évidentes de sécurité impliquées par l’utilisation d’une quelconque arme.

    La remarque faite à propos des vitesses est très intéressante.
    Pourquoi une arbalète de 175 livres propulse un carreau moins vite qu’une arbalète de 150 livres ?
    Il faut savoir que la « puissance » d’un arc est en fait une force (donc un poids) : celle qu’on tracte pour l’armer. Ca ne signifie pas que c’est cette même force qui va propulser le carreau.
    Il faut soustraire à cette force le poids de l’arc et de sa corde, les éventuelles vibrations qu’il subit, les frottements de la corde sur l’arbrier (le fût de l’arbalète). Ces variables soustraites, on obtient la réelle force qui propulse le projectile.
    Il y a un autre détail : le ratio « force emmagasinée / force restituée ». Plus l’allonge (la distance séparant la corde de l’arc lorsque celui-ci est armé) de l’arc est importante, plus il pourra restituer la force qu’il emmagasine. Si l’allonge est courte, il ne restitue que peu de cette force et, donc, ne propulse pas le carreau à haute vitesse.
    Enfin, la « réactivité » de l’arc (la vitesse à laquelle il va reprendre sa forme initiale lorsque la corde va être relâchée) influe énormément sur la vitesse de projection. Une amie tire sans problème à 70 mètres avec un arc de 24 livres, moi je ne dépasse pas les 50 mètres avec mon arc de 35 livres, justement parce que le sien est très réactif et le mien trop peu.

    A titre purement informatif, il faut compter environ 200 livres pour qu’une arbalète soit aussi efficace qu’un arc monoxyle de 60 livres (c’est une généralité, pas une vérité absolue). Voyez les comparatifs entre Barnett de 175 livres et Oneida de 60 livres sur le forum « webarcherie » pour plus d’informations.

    C’est pour ces raisons qu’une arbalète, à puissance égale, est largement moins efficace qu’un arc et pour cette raison aussi que de deux arbalètes, celle qui aura la meilleure « sortie de flèche » (vitesse de projection de la munition) n’est pas la plus puissante mais celle qui restitue le plus d’énergie au projectile, donc celle qui a la plus grande allonge, l’arc le plus réactif et/ou le moins de frottements entre corde et arbrier.

    J’espère avoir répondu aux interrogations de certains au sujet de ces étonnants résultats de sortie de flèche.

    Bons tirs !

    1. Michel Bottreau

      Merci pour ces précisions intéressantes concernant un sujet que nous ne maîtrisons pas et qui est, à l’instar des armes à feu et de la balistique, beaucoup plus complexe qu’on pourrait le croire de prime-abord.

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