Dernière création de la firme américaine Ruger, le RAP (Ruger American Pistol) est un pistolet semi-automatique de type Striker-fired, autrement dit une arme de combat dont le percuteur est, de façon constante, partiellement armé afin de permettre une mise en œuvre instantanée.
Ce pistolet dispose de deux commandes ambidextres, l’arrêtoir de culasse et le bouton de déverrouillage du chargeur, d’un rail au standard Picatinny (MIL-STD-1913) permettant la fixation d’accessoires tactiques et d’un levier de démontage imperdable façon Sig-Sauer P220. Il reçoit une carcasse moulée en polymère, mais cette dernière fait simplement office d’enveloppe pour accueillir un châssis qui, à l’instar des autres composants, est réalisé en acier inoxydable. La couleur noire de la glissière et la couleur grise des autres pièces, comme les leviers et la queue de détente, est obtenue par nitruration. Le corps du chargeur, réalisé en tôle d’acier inoxydable, reçoit quant à lui un placage de type Nickelflon (Nickel-Téflon).
Première partie : présentation
Deuxième partie : tirs
18 réflexions sur “Pistolet Ruger modèle « American Pistol » / Calibre 9 mm Parabellum”
Bonjour,
Possesseur de ce pistolet , je n ‘ai pas eu ce problème de détente. Pour avoir vu d’autres vidéos sur ce pistolet, fait par de nombreux tireurs dont certains s’amusant a tirer rapidement voir très rapidement, vous semblez être le seul à batailler avec la détente.
il aurai été bon, après avoir ce soucis, de faire tester d’autres tireurs avant , finalement, de mettre en défaut ce ruger.
Il me parait difficile d’émettre un avis fiable sur un seul avis.
c’est d’ailleurs sur cette même logique que vous testez la précision me semble t il? vous tirez plusieurs munitions et faite une moyenne avant de dire si le pistolet vous semble précis ou pas. les tirs étant fait aussi posés afin d’éviter les erreurs dues au tireur.
D’une part nous étions deux à tester ce pistolet. D’autre part, ce que nous avons signalé est un problème qui peut éventuellement apparaître dans certaines conditions, tout particulièrement si on chausse mal l’arme ou si l’on ne presse pas correctement la queue de détente. Je pense que nous l’avons bien expliqué. En fait, le mieux est l’ennemi du bien et je pense que ce problème est survenu parce que j’avais installé sur l’arme le dos « L » en pensant bien faire, persuadé que ce dos large conviendrait mieux à Jean. Contrairement à moi, Jean a des mains larges et il affectionne les poignées étoffées. En revanche, il n’a pas les doigts plus longs que les miens et ce dos large a pour conséquence d’éloigner la queue de détente sans pour autant élargir la poignée. Si, comme vous, la majorité des utilisateurs de ce pistolet ne se plaignent pas du système de sécurité de la détente, cela confirme mon hypothèse et nous ne pouvons que nous en réjouir…